Lectures

Certains vendredis à 15h00, vous pourrez découvrir de nouveaux projets lors de Lectures publiques ouvertes à tous. Le programme sera mis à jour tout au long de l’année…
Entrée libre, sans réservation

Vendredi 18 septembre à 15h
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La Maison de Bernarda Alba
« Naître femme est le pire des châtiments » fait dire Lorca à l’un de ses personnages. Au travers d’un climat chaud de revendications et de troubles éthiques, s’étendant des domestiques aux femmes de la maison de Bernarda Alba, le Théâtre de l’Equinoxe donne la parole à ces femmes qui ont de lourds fardeaux à porter, des choses à dire sur les hommes, contre ces hommes, tyranniques, parfois trop aimés. Mais les liens du sang sont parfois encore plus durs à assumer. Alors au lieu de dire, ces femmes subissent, s’insurgent, survivent… ou non. La Maison de Bernarda Alba, une ode à la liberté, tragique et magnifique, sensuelle et musicale…
De : Frédérico Garcia Lorca
Par : le Théâtre de l’Exquinoxe
Co-mise en scène de Dominique Thiron Fernandez et Marie Dubois
Avec : Suzanne Dupont, Jessica Cleenewerck, Marie Dubois, Fanny Coléno, Louise Fafa, Caroline Borderieux, Laure Balon, Charlotte Dubois, Marie-Laure Favry

Vendredi 16 octobre à 15h
ANNULÉE
Roméo et Juliette variation pour deux comédiens

Vendredi 23 octobre à 15h
Les_chaussettes_rouges
Chaussettes Rouges
Toutes les dictatures ont des règles absurdes. Dans celle du Grand Slip, où la transparence doit être totale, le secret banni et l’ombre remplacée par la Lumière, c’est de ne pouvoir porter pour tout vêtement qu’un slip blanc. Ainsi, ses enfants ne peuvent rien cacher à sa redoutable police politique, la toute puissante Clarté Publique. Alors quand un de ces agents découvre, dans une laverie, que ses slips sont devenus roses à cause d’une chaussette rouge, il n’a d’autre choix que d’enfermer tous les clients pour trouver le coupable. Et le huis-clos qui en découle ne peut que baigner dans l’absurde et le débat d’idée… en slip.
De et Mise en scène : Sebastien Novac
Par la Compagnie Faut Pas Pousser
Avec : Maud Stievenard, Arthur Dagallier, Nicolas Dejaham,
Loïc Monsarrat, Sandy Santor.

Vendredi 18 décembre à 15h
ANNULÉE
La 25ème heure
D’après l’œuvre de David Benioff
Metteur en scène : Fabien Bicheux
Avec : Julien Romano, Cyril Morisetti, Coralline Lhermitte,
Melody Banquet

Vendredi 8 janvier à 15h – Projection
Noces de rose
Une jeune mariée meurt le jour de ses noces, piquée par une rose vénéneuse cachée dans son bouquet.
Son mari, fou de douleur décide de dédier sa vie à la vengeance contre les roses.
Et il trouve un moyen… qui va finir par se retourner contre lui.
Réalisé sur la scène du Vingtième Théâtre, Noces de Rose joue avec le mélange des codes scéniques et cinématographiques pour faire entrer le spectateur dans un univers sombre, surréaliste et décalé.
C’est un conte macabre, musical et romantique interprété en anglais, et sous-titré en français.

Réalisation : Jeremy Circus
Scénario : Alexandre Bonstein / Jeremy Circus
Musiques : Patrick Laviosa – Paroles : Alexandre Bonstein
Avec : Alexandre Bonstein, Elsa Pérusin, Sylvie Cavé, Corinne Barbara
Produit par Les Saisons d’Arthur
Tourné au Vingtième Théâtre avec le soutien du Centre d’animation Les Amandiers.

Vendredi 29 janvier à 15h
Lucy dans la boîte
Lucy est en quête d’identité et d’absolu. Nostalgique des amours perdues et plongée dans une infernale solitude, elle s’invente des amis imaginaires avec lesquels elle vit dans une boîte hermétique dont elle voudrait déménager. S’apercevra-t-elle qu’elle est la seule à en détenir la clef?
Spectacle musical
Chansons : Barbara et Vincent Gaillard
Avec : Amala Landré, Charlotte Ruby et Vincent Gaillard
Direction d’acteurs : Philippe d’Avilla

Vendredi 12 février à 15h
L’éloge de l’ennui
Trois femmes atypiques et en rupture avec les attendus de leur génération. Thème universel s’il en est, l’ennui m’a paru le mieux répondre à l’aspiration, insensée et idéale, de toucher des publics aux horizons les plus divers. Trois femmes réunies dans un lieu improbable où aucunes n’échappent à une démesure où l’absurde et le drame deviennent sonores. Une ironie insouciante et étayée ouvre les aires d’échanges possibles entre un seul sujet apparent et ses multiples et improbables interprétations.
d’Andrés Spinelli
Avec : Sara Viot, Astrid Cathala et Eve Reinquin

Vendredi 1er avril à 15h
Le Père de James Dean
« Le père de James Dean » est une formidable exploration dans la vie du plus grand mythe hollywoodien, James Dean. Son père, se confie, au cours d’une conférence à Cholame, ville proche du drame, le trente septembre 1975, soit vingt ans après la mort de son fils. Le public découvre alors Winton Dean, père de la star, homme controversé, énigmatique et profondément blessé. Des secrets de famille, des confessions intimes, des révélations choc sur le monde impitoyable du cinéma, des déclarations sur la vie publique et privée de « Jimmy » Dean, par la bouche de son papa, éclairent, sous un angle nouveau, un dernier coup de projecteur, la fantastique destinée de ce « petit » génie du septième art. Patrick Guichard, l’acteur de cette incursion, nous entraîne avec rage, colère, sensibilité à fleur de peau, dans la légende du monstre sacré, James Dean.
Écriture et mise en scène : Frank Bertrand
Avec : Patrick Guichard

Vendredi 29 avril à 15h
Parigot Sunrise
Suzie, jolie brune à la gouaille Parigote et à la nature espiègle, se rêvait chanteuse de music hall. Mais pour d’obscures raisons, sa vie a bifurqué vers l’hôtellerie. Aujourd’hui, elle gère comme elle peut, un petit hôtel décrépit nommé : Un Ticket pour Paris, tout prés d’un grand aéroport. Les affaires vont mal, l’endroit est voué à la démolition. Suzie, pour sauver les meubles, transforme son lieu en petit cabaret clandestin, elle chante et fait chanter ses clients qu’elle arnaque de temps en temps avec l’aide de ses deux complices musiciens, pianiste et contrebassiste : jusqu’à l’apparition d’Hector, pilote de ligne dépressif de la Pandallule Airlines, qu’elle va essayer de pigeonner, mais le stratagème ne va pas se passer comme prévu…
De meneuse de revue à meneuse de rêves, Suzie aura besoin d’emprunter un passage. Hector sera-t-il, pour elle, l’homme de la situation ?

Écriture et mise en scène : Arnaud Maudeux
Assisté de : Aurélie Cordier
Avec : Armelle Yons, Igor Koumpan, Stéphane Lemaire (Piano), Rémi Auclair (Contrebasse)

Vendredi 3 juin à 15h
Les dattes d’Aoulef
« Je souhaite baser mon roman sur l’histoire authentique d’un homme du Sahara algérien qui a quitté son oasis natal « pour découvrir le monde » et qui va finalement se retrouver dans une usine au Creusot, au gré de ses rencontres.
Le propos n’est pas de faire un récit socioculturel ni d’étudier la dure vie des immigrés dans nos contrées. Malgré tout, on doit percevoir la dureté de son existence et comment il s’y adapte.
C’est la vision globale d’Ali qui importe. Sa culture est à l’opposé de notre monde, avec une vision spirituelle de tout ce qui l’entoure. Il interprète les événements d’une façon toute particulière : les personnes qu’il côtoie, les turpitudes de sa vie ne seront décrites que pour renforcer cette idée d’un destin étonnant. »

De Abel Jafri
Comédien issu du théâtre et du cinéma a un parcours éclectique : Il a joué dans Timbuktu présenté au Festival de Cannes, primé aux Césars (7 Césars) et sélectionné aux Oscars, mais aussi dans des films d’auteurs ou des comédies sociales et musicales. Il participe également à des projets culturels et associatifs.

Vendredi 17 juin à 15h
Personne ne nous regarde
Yvonne, une vieille pochtronne de comptoir, est amoureuse de Laurent, un jeune barman.
Mais le sentiment n’est pas réciproque jusqu’au jour où le jeune barman en question trouve, par hasard, une montre à voyager dans le temps, et tombe amoureux d’Yvonne, plus jeune.
Il fait tout pour l’empêcher de devenir alcoolique et la ramener avec lui dans le futur…
Une histoire d’amour sur la différence d’âge et le temps qui passe.

Comédie fantastique de Nicolas Moïssakis
Mise en voix par l’auteur.
Avec : Colette Lavollée, Jean-Philippe Marie, Nicolas Moïssakis, Clotilde Pierre, Frédéric Souterelle

Vendredi 24 juin à 15h
Le 16 juin 1940
De : Bruno Jarrosson
Mis en scène : Yves Carlevaris