C’EST LA FAUTE À LE CORBUSIER ?

de Louise Doutreligne
du 26 décembre au 22 février
du jeudi au samedi à 21h30dimanche à 17h30
Supplémentaire le mercredi 31 décembre à 21h30
Relâche 1er janvier
Deux architectes de la réhabilitation, pressentis par Madame le Maire, arrivent dans le local au pied de la tour… Le groupe de musique et sa jeune chanteuse répètent… Le gardien brésilien s’échauffe, sa fille projette des séquences de son docu : flash-back, discussions, pauses musicales, rejets et excuses des architectes, défense et accusation des Grands Ensembles, un presque procès, où l’on verra que l’accusé n’est pas forcément le coupable…

Mise en scène : Jean-Luc Paliès
Scénographie : Luca Jimenez, assisté d’Alain Clément
Images : Nadira Annan
Avec : Catherine Chevallier, Claudine Fiévet, Valérie Da Mota, Ruth M’Balanda, Jean-Pierre Hutinet, Jean-Luc Paliès, Carel Cléril, Emilien Gillan, Jean-Baptiste Paliès.

Coréalisation Vingtième Théâtre et Influenscènes.
http://www.influenscenes.com
https://www.facebook.com/events/248100375386314
Autour du spectacle (Renseignements/réservations : 01 48 77 94 33) :
- Dossier pédagogique disponible à
- Le Centre d’Animation Les Amandiers vous invite aux « Jeudis, pousse les murs ! »
3 soirées sous le thème de l’habitat, et du mieux vivre ensemble :
* Jeudi 4/12 à 19h
Présentation du spectacle et lancement d’un grand jeu « Portrait de gardien »
* Jeudi 11/12 à 19h
Projection du documentaire « Les Enfants du Béton »
* Jeudi 18/12 à 19h
Répétition publique du spectacle
- Samedi 17/01 : Bibliothèque Oscar Wilde (12, rue du Télégraphe 75020)
15h : rencontre/débat avec Louise Doutreligne, Jean Luc Paliès et Alain Guillo.
- Samedi 24/01 : Carré Baudouin (121, rue de Ménilmontant 75020)
14h30 : Débat/Conférence « Remettre au centre du Bâti le cœur battant des habitants »
avec architectes – habitants – usagers – bailleurs – animateurs – acteurs.
Avec Louise Doutreligne (autrice et vice-présidente Théâtre de la SACD), et Cloud de Grandpré (architecte Studio Fractales et président du Réseau national des maisons de l’Architecture)
En collaboration avec : EDL, maison de l’architecture…
- Samedi 7/02 : Promenade urbaine
15h : Les influences de Le Corbusier et du modernisme dans l’architecture éclectique du quartier de Ménilmontant.
Rendez-vous au restaurant le Quartier Général 9 rue Sorbier. Arrivée à 17h30 au Lieu Dit 6, rue Sorbier.
En collaboration avec les CAUE et l’association des Promenades Urbaines.
- Samedi 14/02 : Restaurant le Lieu-Dit (6, rue Sorbier 75020)
16h : A l’occasion de la Saint-Valentin les lettres d’amours à la ville, à l’architecture, au gardien.

Extraits de Presse :
« Du théâtre « réalité » où chacun comme dans un buffet vient pécher des réflexions, des motifs de rencontre, d’utopie sur un sujet qui nous concerne tous, l’avenir de nos villes, de notre environnement. Une mise en scène fort animée et des comédiens enthousiastes. Joyeuse utopie ! »
Evelyne Trân – Le Monde
« La mise en scène de Jean-Luc Paliès attise l’intérêt du spectateur : alternance de réel et de virtuel,
témoignages vrais et fictifs, pauses musicales, images, art plastique, occupation de l’espace… Le regard du spectateur balaie l’espace scène, les propos se superposent, fusent. L’ensemble est joyeux, léger, optimiste et présente une architecture théâtrale originale faite de résonances, de convergences des points de vue des personnages »
Matthieu Lambert – Le Progrès
« Ce spectacle interroge les limites de la représentation théâtrale pour nous amener à une alliance judicieuse entre notre place de spectateur et celle de citoyen sensible au monde qui l’entoure. Le rythme est au cœur de la proposition, tant par les musiciens sue scène que par l’écriture de Louise Doutreligne et la mise en scène de Jean Luc Paliès. Les comédiens au jeu généreux enchaînent les différentes péripéties avec une belle énergie (…) »Guy Flattot – L’Humanité
« Tant sur le plan des idées que sur celui du vécu, le spectacle annonce des débats de bon augure. L’architecture et l’urbanisme peuvent-ils être les vecteurs d’une transformation sociale profonde? Comment le matérialisme prosaïque du présent affronte-t-il les œuvres idéalistes du passé? Et comment rendre possible l’utopique rencontre entre architectes et population? Ces questions, Louise Doutreligne se les pose activement (…). Elle interpelle (aussi) la réalité sociale d’aujourd’hui : le droit de tous au logement digne et les ressources matérielles et humaines disponibles pour le rendre possible (…). La chose est sûre, pour nous permettre d’exercer notre fonction critique, cette auteure militante sait comment nous parler (…).»
Laurence Monsénégo – Objectif Grand Paris