LE BANQUET D’AUTEUIL

de Jean-Marie Besset
du 3 Septembre au 25 Octobre
du jeudi au samedi à 21h30 - dimanche à 17h30

BANQUET_AUTEIL

Art, amour, sexe, argent / Entre grands hommes
et jeunes gens / En 1670, au printemps

Lassé des infidélités de sa femme, Molière s’est installé dans une maison à Auteuil. Là, vivent à demeure son jeune protégé, l’acteur Michel Baron, et l’ami de toujours, l’écrivain Chapelle. Ce dernier, aimable fêtard, a invité une turbulente troupe à dîner, les musiciens Lully, Dassoucy et Pierrotin, les hommes de cour Jonsac et Nantouillet, bientôt rejoints par leur ami disparu, Cyrano de Bergerac. Ces libertins-là vont moquer (ou envier) la passion jalouse de l’auteur du Misanthrope pour Michel Baron. L’art et l’amitié peuvent-ils nous sauver de l’absurdité de la vie ?

Mise en scène : Régis de Martrin-Donos, assisté de Patrice Vrain Perrault
Musique originale : Jean-Pierre Stora
Avec : Jean-Baptiste Marcenac, Hervé Lassïnce, Félix Beaupérin, Frédéric Rose, Quentin Moriot
ou Gonzague Van Bervesselès, Grégory Cartelier, Roman Girelli, Dominique Ratonnat,
Antoine Baillet-Devallez, Alain Marcel
Coréalisation Vingtième Théâtre et Badock Théâtre en accord avec le Théâtre 14
www.facebook.com/pages/LE-BANQUET-DAUTEUIL/1639272949643605?sk=timeline
Dossier pédagogique disponible à
Crédit visuel : Marc Ginot

Extraits de Presse :

« Provocateur avec élégance »
Le Monde

« Jean-Marie Besset a rédigé un texte passionnant pour les historiens … et troublant pour les spectateurs ! »
C.B. – L’Express – 02/09/2015

« Une comédie érudite et réjouissante »
Yagg – 29/08/2015

« Molière et les garçons, à table ! Comédie libertine, la pièce est une réflexion mélancolique sur les passions transcendées dans l’art, la jeunesse qui fuit… »
Les Échos
« On s’amuse vraiment dans le monde fantasmatique de Besset, on retrouve ses classiques, avec une troupe de jeunes gens beaux en diable, à convertir l’hétéro le plus borné »
Froggy’s Delight
« Les amateurs de spectacles (dé)culottés y trouveront leur compte, ce n’est pas tous les jours qu’on peut apprécier une telle liberté, ni pareille érudition, au théâtre. »
Café Astral